« On a trouvé la solution contre le CO2 : des algues et des micro-organismes ! »

"Captivating Ocean Life".

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Une oasis au milieu de l’océan Pacifique pour lutter contre le CO2

As-tu déjà entendu parler de l’effet de serre et du CO2 ? C’est un peu compliqué, mais en gros, notre Terre est recouverte d’une couche d’atmosphère qui garde la chaleur du soleil et nous permet de vivre dans de bonnes conditions. Mais depuis que les humains utilisent des machines pour produire de l’électricité ou pour faire tourner des voitures, on a trop de CO2 dans l’atmosphère. Et ça, c’est mauvais pour notre planète. Heureusement, des scientifiques ont peut-être trouvé un moyen de réduire cette pollution…

400 000 km² d’algues et de micro-organismes

Au milieu de l’océan Pacifique, près de Tonga, une immense zone de 400 000 km² est remplie d’algues et de micro-organismes. Ces petites bêtes sont très fortes pour capturer le CO2. Mais pourquoi y a-t-il autant de vie ici ? Et bien, c’est grâce aux volcans sous-marins qui sont tout près. Ces volcans rejettent du fer qui nourrit les micro-organismes et les rends très forts. C’est ce qu’on appelle une « fertilisation naturelle ».

Une solution pour lutter contre le CO2

Les scientifiques ont donc étudié cette zone de l’océan pour savoir si elle pouvait servir à capturer encore plus de CO2 et réduire la pollution. Et selon leurs recherches, ça pourrait marcher ! Ils ont même parlé de « piéger le carbone ».

Avantages Inconvénients
Une méthode naturelle Difficile à mettre en place à grande échelle
Peut éviter d’utiliser des méthodes polluantes Nécessite des recherches supplémentaires

Stimuler le phytoplancton

Les scientifiques aimeraient maintenant savoir si cette « fertilisation naturelle » peut être reproduite artificiellement. Ils aimeraient stimuler le phytoplancton, qui est un peu comme les « plantes de l’océan » et qui capture également du CO2. La méthode consisterait à ajouter du fer dans l’océan pour nourrir les micro-organismes et les algues. Sauf que les premiers tests n’ont pas été très concluants… Mais peut-être que dans le futur, on pourra utiliser cette méthode pour lutter encore plus efficacement contre le CO2 et la pollution ?

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