Les polluants éternels dans notre environnement
Salut les kids ! Aujourd’hui, on va parler des PFAS, des substances qui sont partout autour de nous et qui peuvent être dangereuses pour notre santé et pour la planète. Alors accrochez-vous, on va tout vous expliquer ! 😉
Pour commencer, les PFAS sont utilisés dans plein de choses : nos vêtements, nos ustensiles de cuisine, les emballages alimentaires ou même dans le domaine de la santé. Mais voilà, ces PFAS sont surnommés « polluants éternels » car ils restent dans l’environnement pendant très longtemps et peuvent causer des problèmes. C’est pour ça qu’un rapport gouvernemental a été réalisé pour lutter contre ces polluants.
Dans ce rapport, il est proposé de mettre en place des normes pour limiter la présence des PFAS dans notre environnement. En effet, les seuils de toxicité sont très difficiles à établir car les PFAS restent dans notre corps pendant des années. Mais déjà, pour les aliments, on estime qu’il ne faudrait pas manger plus de 4,4 nanogrammes de PFAS par kilo d’aliment par semaine. C’est une petite quantité, hein ? 😉
Le rapport dit aussi qu’il faut agir à l’échelle de l’Europe car le problème dépasse les frontières françaises. Chaque année, entre 120 000 et 400 000 tonnes de PFAS sont produites en Europe, et certains sites en France sont particulièrement concernés. Mais bonne nouvelle, on peut stopper les rejets de PFAS ! Une usine à côté de Lyon a déjà réussi à le faire en utilisant des charbons actifs. Il suffirait donc d’un arrêté ministériel pour les autres sites.
En plus de ça, il est important de penser à dépolluer les endroits déjà contaminés par les PFAS. Mais attention, ces substances sont très résistantes et peuvent rester dans la nature pendant des dizaines voire des centaines d’années. Il faudrait que les industriels participent financièrement à cette dépollution.
Et enfin, le rapport propose de limiter les usages des PFAS. Par exemple, on pourrait les éliminer des emballages alimentaires, de certains textiles ou même dans les produits utilisés pour les skis. Mais attention, certains PFAS sont quand même utiles, comme dans certains médicaments pour éviter les bactéries.
Au total, ce rapport contient 18 recommandations pour lutter contre les PFAS. Maintenant, c’est au ministre de la Transition écologique de décider des actions à mettre en place pour protéger notre environnement et notre santé. Il est temps de prendre soin de notre planète ! 🌍