Le plus ancien animal de la planète enfin découvert ?
Hey les enfants, avez-vous déjà entendu parler des éponges ? Celles qu’on utilise pour se laver ou nettoyer la vaisselle ? Et bien, ces éponges semblent être très anciennes et ont été considérées pendant longtemps comme le tout premier animal de la planète ! Mais récemment, des scientifiques ont trouvé quelque chose de très surprenant…
Les cténophores, plus anciens que les éponges ?
Il y a quelques années, des généticiens ont découvert que les cténophores étaient peut-être les animaux les plus anciens de la planète. Les cténophores ressemblent à des méduses. Alors, est-ce que les éponges sont toujours l’animal le plus ancien ? Les scientifiques ont mené de nouvelles recherches et ont découvert que les cténophores étaient bel et bien les animaux les plus anciens !
Des recherches basées sur la disposition des gènes
Les scientifiques n’ont pas compté le nombre d’années que les animaux existent. Ils ont plutôt examiné la «disposition des gènes» des animaux. Cela signifie qu’ils ont étudié la position des gènes sur les chromosomes des animaux. Selon les chercheurs, cette disposition des gènes est très stable et ne change pas beaucoup. Par conséquent, cette étude permet de voir comment les différentes espèces d’animaux évoluent les unes par rapport aux autres.
Un travail minutieux pour découvrir la vérité
Les scientifiques ont étudié les schémas de gènes de différents animaux pour trouver le plus ancien. En examinant les schémas de gènes entre deux espèces de cténophores, deux espèces d’éponges et deux autres groupes d’animaux, ils ont trouvé des schémas présents chez les cténophores et chez les ancêtres unicellulaires. Cela signifie que les cténophores ont précédé les autres animaux. Les scientifiques ont donc eu besoin de beaucoup de temps et de recherche pour comprendre cette question compliquée.
Conciliation avec les approches à petite échelle
Il y a encore beaucoup de travail à faire pour confirmer cette découverte. D’autres études devront être menées pour concilier cette découverte avec les approches à petite échelle. Mais c’est un bon début pour aider les scientifiques à mieux comprendre l’histoire de la vie sur notre planète !