Des chercheurs transforment des araignées en robots ! 😲
Les scientifiques ne cessent de nous surprendre par leur capacité à innover et à créer des technologies absolument incroyables ! Cette fois-ci, une équipe de chercheurs américains est allée plus loin en transformant des araignées mortes en robots appelés « pinces robotiques ». Une nouvelle approche, baptisée « nécrobotique », qui ouvre la voie à une toute nouvelle génération de robots biodégradables.
Des robots mous et biodégradables
Les robots actuels sont souvent rigides, ce qui peut être très pratique, mais qui pose également des problèmes. En effet, de tels robots ne sont pas toujours faciles à manipuler, surtout lorsqu’il s’agit d’objets délicats. Les chercheurs de l’Université de Floride aux États-Unis ont donc envisagé une solution alternative : utiliser des matières biologiques pour créer des robots mous qui seraient bien plus faciles à manipuler.
Des araignées mortes pour créer des pinces robotiques délicates
Pour cela, l’équipe de scientifiques a étudié les araignées et s’est rendu compte que leurs pattes étaient composées d’un matériau très solide et très souple à la fois. Ils ont donc prélevé des parties de pattes sur des araignées mortes et les ont transformées en pinces robotiques très délicates. Ces pinces, d’une grande finesse, pourraient être utilisées dans différents domaines nécessitant un travail de précision.
Des robots biodégradables pour aider la planète ?
En utilisant des matières biologiques pour fabriquer ces robots, les chercheurs envisagent une alternative durable pour aider à protéger la planète. En effet, ces robots sont biodégradables et n’émettent pas de polluants qui pourraient nuire à l’environnement. Cette nécrobotique est donc une avancée dans la création de technologies plus « vertes ».
Et maintenant ?
Cette découverte pourrait être la première d’une longue série d’innovations en matière de robots mous biodégradables. Cependant, il reste encore beaucoup de travail à faire pour rendre ces technologies utilisables à grande échelle. Les chercheurs continueront donc à explorer cette technique afin de trouver de nouvelles matières biologiques et élargir leur champ d’expérimentation.