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Une nouvelle façon de découvrir les coupables !
Salut les enfants ! Aujourd’hui, on va vous parler d’une grosse découverte qui va beaucoup aider la police scientifique. Vous savez, ces experts qui cherchent des indices pour résoudre des enquêtes. Eh bien, ils ont trouvé une nouvelle technique pour identifier des suspects en analysant simplement un vêtement ou un objet qu’ils ont touché. 📷
Jusqu’à présent, pour retrouver un voleur ou un agresseur, les policiers devaient chercher des poils, des morceaux de peau ou des fluides corporels comme de la salive. C’est pour ça qu’on voit souvent des scènes où l’on gratte sous les ongles dans les séries policières. Mais maintenant, les scientifiques ont découvert que chaque personne possède une empreinte bactérienne unique !
Les bactéries pour détecter les coupables 🦠
Cette empreinte spéciale, ils l’ont appelée « le Touch Microbiome« . En gros, ce sont des petites bactéries qui vivent sur notre peau et qui se déposent sur tout ce qu’on touche. Impressionnant, non ? Les chercheurs ont prouvé qu’en analysant ces bactéries, ils peuvent récupérer l’ADN d’une personne et l’identifier. C’est comme lorsqu’on récupère des empreintes digitales !
Mais ce n’est pas tout. Ces bactéries peuvent rester sur les objets plus ou moins longtemps, selon la surface. Par exemple :
| Surface | Temps de présence des bactéries |
|---|---|
| Verre | Un peu moins d’un mois |
| Coton | Six mois |
Une nouvelle technique incroyable 🔬
Vous savez quoi ? Les chercheurs ont même découvert que ces bactéries pouvaient être transférées d’un vêtement à l’autre. Ça veut dire que si un méchant reste proche de sa victime, sans même la toucher, ses bactéries peuvent quand même passer sur les vêtements de la victime.
Pour récupérer ces bactéries, il suffit d’utiliser un kit d’extraction de l’ADN. Vous avez déjà vu ces scènes dans les séries où les experts passent un coton-tige sur un objet ou sur la peau de quelqu’un ? C’est pareil ! Ensuite, on met l’échantillon dans une machine qui analyse si les bactéries correspondent à celles du suspect. 🎯💡 C’est un peu comme les tests PCR qu’on utilisait pour le Covid-19.
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